Deux cinéastes se rencontrent : Philippe Grandrieux et Masao Adachi. Ce dernier est un réalisateur japonais issu du cinéma expérimental des années 60, avant de rejoindre des luttes armées, toujours avec sa caméra, en se définissant "surréaliste" avant tout. Grandrieux est à la caméra et filme avec sa patte reconnaissable : plus qu'un portrait ou un documentaire, Il se peut que la beauté ait renforcé notre résolution (1h14, 2011) est une rencontre, un choc entre deux univers esthétiques marqués.

Du même réalisateur : Sombre, La Vie nouvelle.

Le but de ces vidéos est de donner envie de voir un film en 3 à 4 minutes environ.

Cette série de recommandations comporte 100 épisodes. Elle commence par des films que je juge généralement plus accessible avant d'évoluer vers un cinéma plus "exigeant". Cela reste, bien sûr, entièrement subjectif, d'autant plus que j'essaie de varier les lieux et les époques de production autant que possible.